Archives par étiquette : mondes

Séminaire : “Histoires globales : une entrée par le sensible (XVIIIe-XXe siècle)”

Un nouveau séminaire de recherche organisé par des enseignants du département (Quentin Deluermoz et Didier Nativel) intitulé : “Histoires globales : une entrée par le sensible (XVIIIe-XXe siècle)” commence le 3 février. Des collègues du département (Anaïs Albert, Aurélia Michel) y participent.

La première séance introductive, assurée par Quentin Deluermoz et Didier Nativel aura lieu le jeudi 3 février de 10h à 12h, aux Grands Moulins, Bâtiment C, salle 888.

Présentation et programme détaillé à télécharger ici

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Discussion avec Catherine Coquery-Vidrovitch (7 février 2022)

Le choix de l'Afrique | Lisez!

 

A l’occasion de la sortie de son livre, Le Choix de l’Afrique, Catherine Coquery-Vidrovitch, professeur émérite à l’Université de Paris, ancienne enseignante du département hsitoire et co-fondatrice du Laboratoire Tiers-Monde et du Groupe Afrique Ocean Indien à l’Université de Paris VII Jussieu, au début des années 1970, devenu CESSMA, présentera son livre autobiographique dans le cadre d’un séminaire d’histoire exceptionnel, le lundi 7 février.

Informations pratiques : Lundi 7 février, 16h30 à 18h30 dans l’amphi 10 E de la Halle aux Farines à l’Université de Paris.

 

 

Séminaire : Rochona Majumdar et les Subaltern Studies (28 septembre)

Le séminaire de Master 2 “Ce que peut l’histoire des mondes” accueille Rochona Majumdar, historienne de l’Inde mais aussi spécialiste de genre et sexualités, de cinéma et de la théorie post-coloniale, qui vient de l’Université de Chicago pour un bilan des Subaltern Studies.

Colloque international les 23 et 24 juin 2021_ Regard critique sur les souverainetés (Afrique, Amériques, Asie, Europe) Moyen Âge – XXIe siècle

L’objectif de ce colloque interdisciplinaire, rassemblant des historien.e.s, dont de nombreux membres de notre département (Indravati Félicité, Charlotte de Castelnau-L’Estoile, Sophie Coeuré, Natalie Kouamé, Alexandre Rios-Bordes), ainsi que des juristes et des politologues, est de débattre de la souveraineté afin d’éprouver l’apport heuristique de ce terme. Il s’agit d’adopter une approche critique du concept en se penchant notamment sur les souverainetés « sans État » ou « contre l’État ». La théorie critique doit permettre d’élaborer une herméneutique du politique, l’objectif étant de mieux comprendre l’État et les phénomènes de pouvoir en Europe, dans les Amériques, en Asie et en Afrique.

Le programme et toutes les informations sont ici :